Sorties 2024


20 octobre


Nous étions 30 à nous présenter, sous un soleil radieux, devant l’entrée de l’ancien site d’exploitation qui désormais se fait ailleurs. Un guide très compétent nous prend en charge et nous introduit entre ces gigantesques parois grises sur des cheminement sécurisés aménagés pour les visites.

À nos pieds des fosses de 60 à 80 m de profondeur remplies d’eau… Des haltes bien situées lui permettent de nous donner toutes les informations sur la géologie puis sur les débuts de l’exploitation de l’ardoise sur ce territoire auparavant cultivé. Viendra ensuite ce qu’il appelle l’âge d’or (1846-1939), puis le déclin jusqu’en 1989.
Le secteur ardoisier forme la limite entre le bassin de Brive au sud et le plateau limousin au nord, plus largement entre le Bassin aquitain et le Massif Central. Elles s’enfoncent dans le sol en murs verticaux, séparées par des failles parfois visibles dans le paysage comme à Malaval, commune de Saint-Solve.

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2 juin


Dimanche 2 juin à 10h 30 nous sommes accueillis dans la salle de la mairie par Jacques Carral, notre adhérent ici sur ses terres, et ses amis de l’Association pour la Protection du Patrimoine de Pompignan.
Après les discours de bienvenue, John Dumoutier, président, nous présente un diaporama situant la paroisse, devenue commune aujourd’hui et ses limites. Il enchaîne sur le village, l’église d’origine et celle du XIXe , le château construit par Jean-Jacques Lefranc de Pompignan au XVIIIe siècle, et qu’il agrandit par la suite. Nous sortons alors sous un beau soleil vers l’église toute proche que je laisse Jacques Carral nous commenter.

L’église Saint-Grégoire de Pompignan
En venant de Toulouse par l’ancienne RN 20, pour se rendre à Montauban et à Cahors, Pompignan est la première commune du Tarn-et-Garonne que l’on traverse. Le village est de part et d’autre de la route et, sur la droite, on peut admirer, côte à côte, la mairie et l’église. Celle-ci est surmontée d’un imposant clocher. Sa façade est dépouillée de tout ornement autre qu’un fronton triangulaire qui surmonte l’entrée principale. Elle peut être qualifiée de « néoclassique ». Elle a été édifiée au XIXe siècle, entre 1846 et 1848 pour le bâtiment lui-même, et en 1893 pour le clocher.

La suite de ce compte rendu est disponible dans le bulletin 2024 -3

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