Historique de l’archidiaconé
Bruno Tollon
Pour comprendre le monument et l’intérêt qu’il présente, il est indispensable de replacer sa construction dans l’histoire de l’ensemble du quartier canonial. L’étude toute récente de Mireille Bénéjeam a démontré comment ce vieil ensemble médiéval a été remodelé avec les campagnes de travaux qui vont donner aux principaux dignitaires du diocèse la possibilité de loger dans de véritables hôtels particuliers. Tout l’espace, entre la cathédrale et le Lot et celui compris entre le couvent de la Daurade au nord (actuelle place de la Daurade) et la rue Saint-James au sud, était partagé entre l’évêque et les dignitaires du chapitre1 . Ces transformations ont été favorisées par la politique de prestige d’Antoine d’Alamand, évêque de Cahors à la fin du XVe siècle, qui désigna ses neveux et ses amis aux dignités canoniales. Outre les embellissements qu’on connaît dans la cathédrale et le cloître, ces derniers auront aussi à cœur de construire de véritables résidence2. En ce qui concerne les bâtiments situés à l’est de la cathédrale on peut se reporter au cadastre napoléonien (fig. 1). Il montre que les cours et les constructions conservaient encore la répartition évoquée dans les cadastres des XVIe et XVIIe siècle3 . L’archidiaconé est mentionné à plusieurs reprises à ces occasions au titre des biens nobles sans qu’on n’apprenne rien de ses origines. Avant de se livrer à l’étude archéologique de l’édifice, on peut résumer rapidement son histoire récente ; l’archidiaconé, qui n’était plus un bien privé depuis le XVIIe siècle (après avoir appartenu à Christophe de Saint-Sulpice en 1593), mais se trouvait englobé dans les possessions de l’évêché affectées aux dignitaires, fut vendu comme bien national en 1791, racheté par la ville en 1825 pour servir de presbytère et de local à la Chantrerie4 . . Son classement au titre des Monuments historiques et la restauration de 1950 restent les derniers épisodes marquants de l’histoire du monument5 .
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Avant d’étudier l’archidiaconé proprement dit, il convient d’évoquer les bâtiments qui ferment la cour et le jardin (qui occupent l’est du cloître) et prolongent l’actuelle grande sacristie (fig. 2). En effet contre cette chapelle Saint-Martin (élevée entre 1328 et 1337) est venu s’appuyer un bâtiment à deux niveaux, tous deux couverts de deux travées de voûtes d’ogives.
.Au premier étage, une belle cheminée appuyée sur le mur occidental montre une mouluration caractéristique de la fin du XVe et du début du XVIe siècle (fig. 3) : on y remarque les armes du chapitre sur le blason qui occupe le centre du manteau. Cette indication qui signale la part prise par les chanoines à sa réalisation mise à part, nous ne savons rien de la destination de ce corps de bâtiment, au reste, très soigné. Il communique avec la grande sacristie par une porte avec sculptures caractéristiques avec tympan aigu à choux frisés et gables latéraux, où figurent aussi les armes du chapitre tandis que les grandes armoiries au-dessus du linteau de la porte seraient celles des d’Alamand 6 (fig. 4).
L’étage de l’arrière-sacristie est accessible par un escalier construit hors œuvre (fig. 2). Ses courtes volées droites séparées par un noyau, des retours à moitié tournants et des paliers associent les mérites de la vis et de l’escalier droit rampe sur rampe. Son emplacement est dicté par la volonté de donner accès à la fois au bâtiment nouvellement construit et aux étages d’une tour carrée beaucoup plus ancienne sur laquelle il prend également appui : celle-ci paraît érigée sur des assises romanes, mais ses ouvertures – visibles de la cour et en particulier celle ouverte sur le coin avec un meneau d’angle – attestent une campagne contemporaine des aménagements qu’on vient de décrire. Il convient de signaler qu’une autre maison canoniale, rue de la Chantrerie, présente la même particularité. Enfin, sous la toiture à quatre pentes, le dernier étage est percé d’œils de bœuf qui semblent appartenir au XVIIe siècle.
Au rez-de-chaussée, la pièce basse de la tour a conservé une voûte de briques en coupole surbaissée. A ce niveau il reste une porte de communication en plein cintre. Côté nord un étroit corridor s’ouvre sur une cour qui appartenait depuis le XVIe siècle aux dépendances de l’évêché : c’est là que se trouvaient les écuries de l’évêque. Côté sud, la salle basse et le premier étage de la tour communiquaient avec l’archidiaconé par une galerie à deux niveaux. Ce bâtiment a été trop remanié pour permettre une bonne analyse archéologique. Mais on peut penser que cet élément de liaison dut jouer un rôle dans la vie du quartier canonial7 ..
On pénètre aujourd’hui dans la grande cour de l’archidiaconé soit par le cloître, par une porte timbrée des armes des Caretto (1514-1553), soit par la rue de la Chantrerie.
Le plan (fig. 2) montre la présence d’un corps de passage dont l’épaisseur a été doublée au XIXe siècle par l’adjonction du bâtiment qui abrite l’escalier actuel du presbytère. Mais au rez-de-chaussée les structures anciennes sont conservées. On trouve du sud au nord, un vestibule d’entrée voûté d’ogives dont l’arc sur la rue a été repris au XVIIe siècle, puis une pièce trapézoïdale où se trouve l’entrée actuelle du presbytère avec le même type de voûte; enfin un autre passage, voûté comme les précédents qui aboutit sous la galerie précédemment décrite. La présence, au XIXe siècle encore, d’un mur de clôture séparant en deux l’espace de la cour et dont les pierres en boutisses sont encore visibles sur l’angle du bâtiment de l’archidiaconé, justifie l’existence de ce passage d’accès aux voûtes maladroitement montées (on y retrouve le profil « coudé» des nervures observées par Mireille Bénéjeam dans la chapelle Saint-Martin (autrefois Saint-Génesbert dans la cathédrale)8 .
Le plan cadastral de 1812 montre que la partition de la cour de l’archidiaconé était encore une réalité au début du XIXe siècle, mais aucun document ne permet de donner l’explication satisfaisante de cette situation (fig. 1). Il reste qu’au moment des travaux de construction de son propre logis, le grand archidiacre a voulu aménager une entrée solennelle avec vestibule voûté largement ouvert du côté de la cour et dont les formes régulières sont caractéristiques des ambitions du moment.
Le logis proprement dit construit alors par le grand archidiacre comprend deux corps de bâtiment établis en équerre; l’aile méridionale profitait, en réalité, de la présence de bâtiments médiévaux dont il reste une cave, directement accessible depuis la rue de la Chantrerie et des baies obturées – l’une d’elle se voit encore dans le passage d’entrée. Il est aisé de le vérifier en regardant la façade sur cour de cette aile sud (fig. 5) : des chaînages, des fenêtres bouchées en témoignent. La construction nouvelle concerne la travée de l’escalier où se trouve la porte d’entrée et l’aile en retour à l’ouest avec son pignon intact.
Les autres travées de l’aile sud ont reçu de nouveaux percements avec une belle fenêtre à meneaux au premier étage. Mais il convient de remarquer que celle qui la surmonte est une réplique du siècle dernier. Cette transformation est à placer au moment de l’aménagement définitif du presbytère avec le bâtiment appuyé sur le corps d’entrée. La travée de l’escalier se caractérise par une composition régulière.
Une ornementation plus riche et la disposition symétrique des baies la signalent d’emblée. Le décor italianisant caractérise la porte et la baie qui la surmonte. Les pilastres et les ébrasements (avec des éléments remplacés et sculptés à l’identique en 1950), comme le décor entre le linteau de la porte et l’allège de la fenêtre, ont reçu une ornementation de rinceaux encadrant le blason (bûché) et un décor de balustre sur les pilastres.
A l’étage, la grande fenêtre à meneaux, aux profils traditionnels, est encadrée elle aussi de pilastres armés de candélabres en méplat et d’un entablement avec panneaux de rinceaux sur la frise. Au second étage on retrouve une corniche à larmier. Le même style caractérise les deux fenêtres de l’aile en retour (fïg. 6). Ce qui unifie les deux façades, c’est le recours aux médaillons. On doit y voir le témoignage le plus intéressant de l’adhésion à la nouvelle culture. Ils sont associés aux baies qu’ils accostent. Ainsi tout à fait à gauche de la façade la présence d’un médaillon (masqué par une gouttière) peut faire penser qu’une fenêtre à meneaux semblable à celle du centre de la façade occupait la place prise aujourd’hui par une porte.
Ces bustes en bas-relief mais dont la tête, largement détachée, s’enlève sur un fond en cuvette ou bien, pour les médaillons qui occupent les petites fenêtres placées de part et d’autre des baies des étages, sur un fond godronné. On retrouve ce procédé sur l’aile occidentale.
Un des mieux conservés de la façade du midi montre un mâle personnage coiffé d’un béret et vêtu d’une chemise au col serré.caractéristique des figures de magistrats romains, attestant ainsi l’emprunt à des sources classiques. En revanche, il a passé son bras sous un large vêtement et sa main droite posée sur la poitrine retient la bordure du costume (fig. 7). Le sculpteur a retrouvé ici une attitude
Le snobisme du médaillon, pour reprendre une expression d’André Chastel, fournirait donc un gage de culture humaniste.
La disposition un peu maladroite de ces médaillons sur la façade ne doit pas faire croire à un jeu de hasard, on retrouve la même formule sur une maison de la rue droite (rue Nationale)9 .
C’est donc autour du grand escalier que s’organise toute la demeure. La réalisation pouvait avoir un caractère de prototype si l’on en juge par la variété des solutions apportées au couvrement, par les dimensions du corridor qui s’ouvre sur les deux chambres et qui s’élargit pour permettre un accès commode par deux portes jumelles séparées par un mur en épi. On sent bien ici la volonté nouvelle de créer des unités indépendantes pour chaque « logis » (fig. 2) 10. La travée d’escalier de l’archidiaconé constitue un jalon d’un intérêt primordial dans l’histoire de cet élément (fig. 11). A l’époque où les hôtels particuliers utilisent encore la tourelle d’escalier en vis, on peut voir ici une expression du renouvellement de ce dispositif. Le château de Cieurac construit peu de temps auparavant montrait une expérience comparable avec un escalier dans œuvre, mais il avait encore la forme d’une vis assortie à chaque étage d’un palier placé en avant de son périmètre. Un autre trait l’associe à l’archidiaconé avec la surélévation de sa cage qui forme une tourelle en pavillon au-dessus du comble du château12 .
Le rapprochement le plus évident se trouve au château de Montal dont l’aménagement mieux conduit et plus spectaculaire – grâce aux arcades qui creusent le mur noyau – allait constituer un prototype13 qui rejoint les autres tentatives un peu antérieures ou contemporaines des châteaux de Josselin, de Châteaudun ou de Bury14. Dans le Lot, enfin, Assier réunit les types d’escalier de Bury avec volées droites rampe sur rampe et repos dans les parties détruites, et de Montal pour l’escalier qui subsiste dans l’aile d’entrée (15) ..
A la différence de Montal, l’escalier de l’archidiaconé n’est pas surmonté d’une chambre haute mais au deuxième étage une partie de sa surface est occupée par une petite pièce, définie par une cloison lambrissée et une claire-voie, dont la vocation reste difficile à préciser.
Ses murs conservent d’importants vestiges d’un décor mural peint à la détrempe. On y voit de grands bouquets sous des arcades à profil classique qui comportent en leur centre une clef pendante (fig. 12).
Cet aménagement est ancien même si une tradition orale, chez les chanoines de la cathédrale (recueillie il y a quelques années), désignait cette pièce comme l’oratoire. Les peintures qui mériteraient un entier dégagement et une restauration appartiennent au XVIIe siècle (fig.11).
Par ailleurs le lambris, en place depuis l’origine, porte des motifs de palmettes et des médaillons exécutés au pochoir avec le sigle I. H. S. surmonté d’une croix à triple traverse. La présence de cette petite pièce, au décor particulièrement soigné, témoin d’un aménagement répondant à un but précis – peut être un oratoire et ceci dès le XVIIe siècle – justifie encore le choix de cette travée pour des raisons de prestige aisément compréhensibles. La tradition de la chapelle en haut de l’escalier est une proposition française dont les exemples sont nombreux.
Des motifs comparables à ceux du lambris de la petite pièce haute de l’escalier se retrouvent ailleurs et en particulier dans la pièce principale de l’aile occidentale.
La grande chambre ouverte sur la cour, au premier étage conserve un plafond caractéristique du XVIe siècle avec des rangs de solives posées entre les grosses poutres : elles sont soutenues par des consoles de profil classique et une pièce de bois longitudinale (fig. 11).
L’ensemble conserve des motifs peints au pochoir sur les poutres et le long du mur.Un sondage récent a révèle la prèsence d’une frise et de médaillon, peints sur enduit sous le niveau des poutres.
La cheminée de stuc manifestement reprise au XVIIIe siècle s’appuie sur le mur pignon qui forme le petit côté de cette aile La pièce voisine a conservé la même poutraison sans décor apparent. Sa cheminée ornée d’un décor de bois accuse le XVIIe siècle avec ses pilastres, ses deux corniches et le motif semi-circulaire qui décore la hotte : il était manifestement destiné à servir de cadre à une peinture. Dans cette pièce vient d’être découverte une inscription peinte en grandes capitales romaines exécutées en noir sur l’enduit clair.
Ce texte latin – (un sondage pratiqué sur les autres parois prouve qu’il court bien autour de la pièce) – est tiré de l’Evangile de saint Jean, XX, 19. Ces quelques constatations prouvent l’intérêt qu’il y aurait à soumettre l’édifice à une véritable enquête archéologique.
Tel qu’il apparaît aujourd’hui, l’ensemble de l’archidiaconé atteste l’ambition du grand dignitaire du diocèse et de ses successeurs immédiats à s’entourer de toutes les images du pouvoir.
Le monument bénéficie de toutes les composantes attendues de la demeure nobiliaire avec la succession, – qui bientôt va devenir canonique – du vestibule voûté, de la cour d’honneur et du logis principal (installé dans plusieurs bâtiments) desservi par un escalier monumental mis en évidence par une travée ornée de façon plus spectaculaire.
A ce titre le grand archidiaconé mérite de figurer en bonne place dans l’histoire de l’invention de l’hôtel particulier français.
Bruno Tollon
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1 Mireille Bénéjeam Cahors et sa cathédrale, architecture et urbanisme à la recherche d’une unité. L’exemple de l’époque gothique. Thèse de doctorat, Université de Toulouse-Le Mirail (1989), t. 1, 357 p., t. 2, p. 358 à 497 dactylographiée. A été résumée dans deux articles parus sous le même titre dans le Bulletin de la Société des Etudes du Lot, 3e fascicule, 1990, p. 193-214 et 1091. Et pour la place dans la ville, Jean Lartigaut, Cahors, Atlas historique des villes de France, C.N.R.S., 1983.
2 Thèse citée p. 92, 97 et 103-154, et article cité, B.S.E.L., 1990, p. 201-204 et 204-205 ; et Cahors, la cathédrale, Lot, Images du Patrimoine, Toulouse, 1991, en particulier les articles de Mireille Bénéjeam et Maurice Scelles, p. 16-17 et 72-75.
3 Etudiés par Mireille Bénéjeam dans sa thèse. Elle a complété l’étude pionnère de J. Calmon et R. Prat, Les cadastres des XVIe et XVIIe siècles de la ville de Cahors, Cahors, 1947, t. 1, 372 p., et des mêmes auteurs, Tableaux de classement des maisons par rue pour les quartiers du Pont-Vieux et du Pont-Neuf de Cahors, 1500, 1606, 1650, Cahors, 1957-1959, t. 2, 231 p.
4 M. Bénéjeam thèse citée, p. 151, « le grand archidiaconé consistant en deux corps de logis, cour et jardin [confrontant] du levant la rue allant de la Daurade aux Pénitents, midy au sieur Lagarde, couchant à la Maîtrise et cloître de la cathédrale, le nord aux écuries de l’évêché » fut estimé à 10.000 livres. Et dans son article cité, p. 200, l’extrait du cadastre de 1812 (reproduit ici fig. 1) est accompagné d’une légende analytique permettant de comprendre l’évolution du quartier canonial. L’archidiaconé est classé Monument historique
5 Le dossier des restaurations reste muet sur les conditions d’exécution des travaux de sculpture pour remplacer les éléments défectueux du portail. Cependant des moulages pratiqués avant dépose sont encore entreposés dans la cave du monument et devraient permettre une étude approfondie.
6 J.. Daymard, Le Vieux Cahors, Cahors, 1927, p. 168. Le blason des Lalemand a été également identifié par Jean d’Alauzier à l’église des Arques (Lot)
7 Mireille Bénéjeam, thèse citée, t. 1, p. 78-79 et p. 104, mentionne un passage des Chroniques de Fouilhac (XVIIe siècle), évoquant l’existence d’une galerie qui permettait d’aller directement du Palais du grand archidiacre à la cathédrale.
8 Cahors. La cathédrale, Lot, dans Images du Patrimoine, Publication de l’Inventaire, Toulouse, 1991, p. 16-17 (figure).
9 Nous devons à Maurice Scelles d’avoir attiré notre attention sur ce rapprochement avec l’immeuble du n° 247, de la rue Nationale, qu’il veuille bien trouver ici l’expression de notre gratitude. Le thème du médaillon mériterait une étude particulière. Un article de Lola Sleptzoff, Un motivo de arte ornemental frances durante la primavera mitad del siglo XVI : Los medallones esculpidos con cabezos o bustos, dans Cuadernos internacionales de historia psicosocial del arte, Barcelone, n. 1, octobre 1982, p. 19-37, 8 figures, esquissait déjà cette réflexion d’ensemble. Les façades de l’archidiaconé totalisent quatorze bustes masculins et féminins dont il est difficile de préciser le caractère tant ils sont aujourd’hui dégradés. On retrouve ailleurs des initiatives assez comparables. Par exemple l’hôtel de Bernuy à Toulouse dont les campagnes de travaux, entre 1505 et 1530, sont marquées par le recours au médaillon pour enrichir la tour d’escalier, comme la façade sur rue (cf. Bruno Tollon, Toulouse ville « plateresque » ? Note sur le problème des échanges artistiques avec l’Espagne au XVIe siècle, dans Las influencias mutuas entre España y Europa à partir del siglo XVI. Actes du colloque tenu les 5 au 7 novembre 1985 Herzog August Bibliothek, Wolfenbùttel, 1988, p. 139-152, fournit la bibliographie).
10 Maurice Scelles, dans La cathédrale de Cahors, Lot, dans Images du Patrimoine, 1981, p. 72-74
11 Mireille Bénéjeam, dans La cathédrale de Cahors, 1981, op. cit., p. 16-17.
12 Monique Escat et Bruno Tollon, L’apparition de l’escalier droit dans les châteaux du Quercy, dans Cahors et le Quercy, Actes du XXXIIe Congrès d’études tenu à Cahors, juin 1977, publié par la Société des Etudes du Lot, 1978, p. 261-275.
13 Sophie Cueille, dans le volume du Congrès, passim(14) Jean Guillaume, L’escalier dans l’architecture française de la première moitié du XVIe siècle, dans L’Escalier dans l’architecture de la Renaissance, Paris, 1985, p. 31 et fig.v
15 Cf. notice consacrée à Assier dans le volume du Congrès.
Cet article a été publié dans : Congrès archéologique de France, Quercy, (Congrès tenu en 1989), Société Française d’Archéologie, Paris, 1993.