Sorties 2023



Notre première destination choisie a été le bassin houiller d’Aubin-Decazeville pour en connaître son histoire. Nous avions retenu la visite du « Musée de la Mine Lucien Mazars » à Aubin, fondé en 1979, devant lequel les adhérents figeacois nous ont retrouvés.
Grâce à la disponibilité bienveillante de Renée – la représentante-guide de l’association ayant accepté de recevoir notre Société un dimanche (habituellement fermé) et que nous remercions ici sincèrement – nous avons, par un exposé de plus d’une heure et sans que l’attention du groupe ne se relâche, découvert l’histoire des mines de la région et de son industrie sidérurgique sur une période de plus de 150 ans.
Notre première destination choisie a été le bassin houiller d’Aubin-Decazeville pour en connaître son histoire. Nous avions retenu la visite du « Musée de la Mine Lucien Mazars » à Aubin, fondé en 1979, devant lequel les adhérents figeacois nous ont retrouvés.
Grâce à la disponibilité bienveillante de Renée – la représentante-guide de l’association ayant accepté de recevoir notre Société un dimanche (habituellement fermé) et que nous remercions ici sincèrement – nous avons, par un exposé de plus d’une heure et sans que l’attention du groupe ne se relâche, découvert l’histoire des mines de la région et de son industrie sidérurgique sur une période de plus de 150 ans.
S’en est suivie la visite proprement dite du musée : vitrines d’outils traditionnels des mineurs, collection de lampes, etc. Enfin, c’est avec la simulation d’un coup de grisou (accident à l’origine de tant de deuils pour cette corporation du monde ouvrier) dans une galerie reconstituée pour tenter d’en ressentir les effets visuels et sonores, que nous avons conclu la visite.

Le compte rendu complet de cette sortie est disponible dans le bulletin n°4 2023.



C’est dans la vallée de la Dordogne périgourdine que la sortie de printemps de notre Société a eu lieu, ce 4 juin 2023, sur les pas de la famille de Caumont, seigneurs de Castelnaud et Berbiguières.
La première visite fut le château des Milandes, connu par sa célèbre propriétaire de 1947 à 1969, Joséphine Baker, mais construit à la fin du XVe siècle par François de Caumont et Claude de Cardaillac sur la paroisse de Fayrac, à quelques kilomètres seulement de la forteresse médiévale de Castelnaud. Si le château des Milandes a été très remanié au début du XXe siècle à la demande de son propriétaire Auguste Claverie, sous l’égide de l’architecte parisien LouisHenri Laffilée, il n’en demeure pas moins que les Milandes, aujourd’hui musée consacré à Joséphine Baker, constituèrent l’une des résidences des Caumont jusqu’au début du XVIIe siècle, ceux-ci s’étant convertis au protestantisme vers 1540.
Puis le château est vendu en bien national à la Révolution et acheté par deux propriétaires qui se partagèrent le domaine et le château. La chapelle du château devint alors une dépendance agricole. À partir de la fin du XIXe siècle, les Milandes connurent plusieurs propriétaires. En 2001, le château est racheté par Claude de Labarre pour sa fille Angélique de Saint-Exupéry. Celles-ci vont dès lors entreprendre d’importants travaux de restauration du château, d’aménagement du musée consacré à Joséphine Baker, la création d’un magnifique jardin d’agrément et, ces dernières années, la restauration de la chapelle castrale – inscrite au titre des Monuments historiques en 1926 –, qui était dans un piteux état.
Il fallut tout d’abord acheter cette chapelle Renaissance, la propriété de celle-ci ayant été octroyée par une suite d’erreurs administratives à la commune de Castelnaud-la-Chapelle, dont les Milandes font partie. Puis entamer de lourds travaux de consolidation et de restauration, à commencer par les maçonneries extérieures.

Le compte rendu complet de cette sortie est disponible dans le bulletin n°3 2023.